Faire pâturer les bovins en utilisant le moins possible d’antiparasitaires

Au pâturage, ce sera toujours la quantité d’herbe qui dictera les choix de parcelles. Et si on se posait quelques heures autour d’une table pour voir si, en modifiant la conduite du pâturage, on ne pourrait pas à la fois gagner sur l’efficacité alimentaire à l’herbe tout en réduisant les impacts du parasitisme ?

Objectif pédagogique : Adapter la conduite du pâturage pour exploiter l’herbe au mieux tout en minimisant l’utilisation des traitements antiparasitaires internes

Public cible : éleveurs de vaches laitières et de vaches allaitantes et personnes amenées à donner des conseils aux éleveurs de bovins lait ou viande

Durée : 7h

En salle

Financements possibles : VIVEA +/- OCAPIAT

Contenu :

  • Impact zootechnique des strongles digestifs, strongles respiratoires, douve et paramphistome
  • Résistance aux antiparasitaires internes des parasites de pâturage
  • Écotoxicité des traitements contre les parasites
  • Immunité des bovins vis-à-vis d’Ostertagia ostertagii (strongle digestif), de Dictyocaulus viviparus (strongle respiratoire), Fasciola hepatica (grande Douve), Calicophoron daubneyi (Paramphistome)
  • Principales mesures non médicales de gestion des parasites de pâturage
  • Construction de fiches-synthèse par parasite
  • Modélisation du risque parasitaire par parasite en fonction de la conduite du pâturage d’une exploitation donnée

Si vous avez des questions ou des remarques, n’hésitez pas à me contacter en allant sur la page CONTACT.
A bientôt !